D’après René Vannes, Stéphane Aubry aurait exercé à Nîmes pendant la seconde moitié du XIXe siècle, se spécialisant principalement dans la fabrication de violons à fond d’une seule pièce et au vernis à l’alcool de teinte rouge-orangé. Un certificat daté de 1876, accompagné de photos, confirme ces caractéristiques et correspond aux informations fournies par R. Vannes. Selon William Henley, un luthier nommé Aubry (dont le prénom n’est pas mentionné) aurait travaillé à Nîmes de 1864 à 1880, et ses violons présenteraient les mêmes traits que ceux décrits par R. Vannes.
D’après R. Vannes, deux types d’étiquettes sont associés à Stéphane Aubry :
Instrument | Date | Ville |
---|---|---|
Violon | 1876 paraphe | Nimes |